
L’émotion avait été vive, à Dunkerque, quand on avait appris la mort d’un enseignant universitaire, Patrice Charlemagne.
Selon la version de sa compagne, avec laquelle il a eu un enfant de 20 mois à présent, il aurait été victime d’un cambriolage. L’épouse, qui dormait dans la chambre de leur enfants, à 4 heures du matin, aurait eu le temps de s’enfuir avec le gamin, et aurait appelé la police à ce moment-là.
Bien sûr, tout le monde, dans un contexte où la France s’ensauvage tous les jours, et où les victimes de coups de couteaux mortels s’accumulent, tout le monde a cru cette version, et les hypothèses sur l’origine des assassins allaient bon train.
Mais la mise en garde à vue de la compagne, le mercredi, ont changé complètement les données de l’énigme. Justine Jotham a avoué le crime, ce jour, sans qu’on sache les vraies raisons du meurtre, si ce n’est que le couple paraissait battre de l’aile, comme on dit.
Le malheureux universitaire a quand même été tué de douze coups de couteau, ce qui n’est pas rien. Le crime était-il prémédité, ou le fruit d’une vive querelle de couple, à 4 heures du matin ?
Justine Jotham paraissait une femme de gauche, puisqu’élue dans la ville de Dunkerque sur une liste divers gauche, dont le maire a rejoint le gouvernement Macron. Le couple paraissait évoluer dans la sphère de la gauche culturelle. On peut donc penser que les médias vont rester très discrets sur ce drame. Les féministes également, qui insistent beaucoup à chaque mort d’une femme tuée par son compagnon, au rythme d’une crime tous les trois jours. Mais elles restent discrètes quand, comme à Dunkerque, c’est une femme qui tue son compagnon, alors que cela arrive tous les onze jours.
Imaginons que cela soit un élu classé à l’extrême droite qui assassine sa compagne, cela ferait 48 heures non stop, et une Sandrine Rousseau réussirait à dire que le crime de la femme fait partie de l’ADN du Rassemblement national.
Reste à classer ce crime. Les féministes appellent la mort d’une des leurs un féminicide. Sauf quand c’est une lesbienne qui tue une autre lesbienne, c’est plus compliqué !
Eric Zemmour appelle la mort d’un Français tué par un étranger un francocide.
Mais dans ce cas, peut-on parler d’hommicide, avec deux M ? En tous cas difficile de parler de francocide, même si la criminelle est d’origine guadeloupéenne, et qu’en général, dans les îles, on joue davantage de la machette que dans l’Hexagone.
En tous cas, et c’est le plus terrible, voilà un enfant de 20 mois qui n’a plus de père, qui n’est pas prêt de revoir sa mère, et qui débute mal dans la vie…
Cette dame était aussi une apôtre de la woke culture !
Il suffit de voir les livres pour la jeunesse qu’elle à écrie.
Et cela malgré un doctorat en littérature française…
Pourquoi ne trouve t on déjà plus votre conférence Ruralite immigration?
Censure?
J’ai lu quelque part sur le net que cette enfant est arrivée par PMA… Cela aurait-il pu contribuer à la détérioration de ce couple mixte ?
Il est sûr que nos merdias , plateaux absorbants de ce qui sort des fosses septiques de la gauchiasserie , ne va pas s’éterniser sur cette affaire ….si c’était une militante RN , Ouh làààa …
Ce n’est pas un » hommicide » qu’il faut dire mais un « MÂLICIDE » !!!
Peut être trop con confiant voire inféodé
La violée, empalée, torturée de Cherbourg ce par un barbare nègre demi teint, une jeune femme sans existence, quelles nouvelles? Paula, morte, rituellement sacrifiée, égorgée et étouffée, sans doute violée et certainement torturée, désormais enterrée dans la plus totale discrétion, quelles nouvelles? Maintenant Dunkerque.
Une omission. Il est encore le petit Emile, enlevé, pour lequel il n’est pas de résultat d’enquête. Quid de son sort.
C’est un androcide, et personne n’en parlera surtout que la tueuse est de goooooooche.
moi je trouve que douze coups de couteaux c’est très bien,car treize ,là! sa aurait pu lui porté malheur et le tuer.
Un gauchiste en moins, suivant…
On ne prête qu’aux riches !!!!!!!!!!!!!
Androcide
Beaucoup d’unions mixtes finissent mal… Ce genre de drame devrait servir de mesure préventive. Qui croirait à la voir, que cette femme d’apparence fluette, soit une criminelle capable d’asséner autant de coups de couteau ? Quelle haine ! A son compagnon, le père de son enfant… Je connaissais l’emploi de la machette en Guadeloupe contre les chiens, pratiqué de manière impitoyable, mais je constate que la sauvagerie s’étend à l’Humain également sans pitié ! Sans vouloir généraliser…
Dans 5 ans cette femme sera sortie de prison avec les remises de peine et puis c’est un homme blanc qui s’est fait trucider par une femme, pas un mot de notre Sandrine Rousseau nationale ni des féministes toujours aux abonnées absents dans ce genre de situation.
Oui, Pierre, pauvre gosse !!!
Justine Jotham, l’auteur de » Qui veut la peau d’Otto Dafé ? « , aurait mieux fait d’écrire » Qui veut la peau de Charles Magne ? »
Peu connue du grand public, elle devient tristement célèbre en bousillant sa famille. Peut-être que la plateforme bien pensante Netflix en fera une mini-série putàclic dont elle a le secret.
L’imposture sémantique du « féminicide »… Mot qui veut dire meurtre d’une femme, d’une fille en raison de son sexe… Définition (à peu près la même dans le Robert et le Larousse) ma foi pas très limpide… Que veut dire « en raison de son sexe »? Par haine de la femme aurait du sens, or on a déjà « misogynie »… Mais pourquoi s’empêcher d’alourdir le lexique inutilement quand on le peut, surtout si ça étoffe le discours de la Gauche… Sinon, oui, « hommicide » ou « masculinicide » aura autant de sens a contrario. Si ça se trouve, peut-être même plus de >haine< dans ce sens que dans l'autre!
Et puis gérontocide si la victime est âgée, adocide si c’est un adolescent, transgenricide ou autre connerie de la même veine. Pourquoi catégoriser les victime ? L’acte est plus ou moins grave selon l’âge ou le sexe de la victime ? C’est soit un meurtre soit un assassinat. Il faut et il suffit que l’auteur purge LA TOTALITÉ de la peine prononcée sans aménagement ni réduction de peine ainsi que les coauteurs et les complices conformément aux dispositions du code pénal ! Et c’est tout !
Un spécimen de la France bigarrée telle que la rêvent LFI et rachid melenchon et telle qu elle nous est martelée dans la moindre pub. Avec , convenons-en sans parti pris, quelque chose d inquiétant dans le regard de la dame ( sourire carnassier qui fait flipper ) qui aurait dû alerter l autre charlemagne .
Bref, c est rififi, coup fourré, coup foireux et coups de machette au menu d’un couple de sympathiques universitaires socialos. Attendons nous maintenant à ce que madame accuse feu monsieur de racisme: avec ces gens de gauche tout est possible
Bijour !
Le silence assourdissant des féministes, de la g caviar, des “anti-racistes”, etc. Deux poids, deux mesures, symptômes typiques de l’institutionnalisation de l’inversion des valeurs en raie publique ripoubelloblicaine franconnardienne.
Petite rectification terminologique : il s’agit en l’occurrence d’un « androcide ». Ce qui est rare, ce n’est pas tant l’assassinat d’un homme pas une femme, que le mode opératoire. Les femmes agissent en effet le plus souvent par le poison (cf. Hélène Jegado, Pauline Dubuisson, Marie Besnard et tant d’autres…). Le meurtre à l’arme blanche témoigne plutôt de l’ensauvagement de la société française par les moeurs des colons, qui imprègnent peu à peu les esprits.
Terrible histoire.
Pour une fois, je ne te suis pas dans tes analyses.
Bonne conclusion !… C’est à ça que je pense moi aussi à chaque fois que se produit un drame familial de ce genre, le sort du ou des enfants dont un des deux parents est mort, assassiné par son conjoint ou sa conjointe. Quel avenir sera celui de ce bambin de vingt mois avec ce poids sur les épaules dès le départ ?!…Son père mort et sa mère en taule, c’est lourd à porter pour un enfant. Le couple Daval, Jonathan et Alexia, n’en avait pas et c’est tant mieux, ça fait un malheureux ou une malheureuse de moins.